Chercheur·e·s
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Madame Claude Amiot
Chercheuse-Citoyenne
Madame Claude Amio est co-récipiendaire de la bourse de recherche du programme Engagement des 3 Fonds de recherche du Québec. Elle se joint à la Chaire de recherche du Canada sur les enfants transgenres et leurs familles, et à l’Équipe de recherche à titre de Chercheuse-Citoyenne.
Elle est membre du comité réflexion sur les enjeux Trans et Non-binaires de Diversité 02 , Témoignante dans le cadre du programme Pour que vieillir soit Gai Saguenay Lac St Jean et Gouverneure de la Fondation Émergence
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Alexandre Baril
Alexandre Baril (Il/lui, PhD études féministes et de genre) est professeur agrégé à l’École de service social de l’Université d’Ottawa. Ses travaux se situent à la croisée des études de genre, queers, trans, du handicap, de la gérontologie critique et de la suicidologie critique. Sa passion et son engagement en faveur de l’équité lui ont valu plusieurs prix pour son implication dans les communautés queers, trans et handicapées, notamment le Prix francophone Tanis Doe de l’Association canadienne d’études sur le handicap (2020), ainsi que le Prix de l’équité, diversité et inclusion du recteur de l’Université d’Ottawa (2021). Auteur prolifique, il compte plus de 200 communications à l’échelle internationale et plus de 75 publications à son actif. Il est l’auteur de Undoing Suicidism: A trans, Queer, Crip Approach to Rethinking (Assisted) Suicide (2023).
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Djemila Carron
Djemila Carron est professeure au Département des sciences juridiques de l’UQAM. Avant de rejoindre l’UQAM, elle a mené des recherches sur les droits des personnes LGBTIQ+ en droit suisse et international. Elle a également créé le Réseau Droit, genre et sexualités en Suisse romande. Ses travaux portent sur l’enseignement clinique du droit en partant des pédagogies critiques, sur la pratique communautaire du droit ainsi que sur les questions de genre et sexualités en droit.
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Nicholas Chadi
Nicholas Chadi (il/lui) est professeur adjoint de clinique à l’Université de Montréal, pédiatre spécialisé en médecine de l’adolescence au CHU Sainte-Justine et Chercheur-boursier clinicien (Junior 1) avec le Fonds de recherche du Québec – Santé. Il a complété un fellowship en journalisme à l’unviersité de Toronto ainsi qu’une maîtrise en santé publique et un fellowship en toxicomanie pédiatrique à l’Université Harvard. Il est codirecteur de la clinique de diversité du genre du CHU Sainte-Justine. Ses intérêts de recherche portent principalement sur la toxicomanie et la santé mentale chez les adolescent.e.s ainsi que sur les caractéristiques, les besoins et les trajectoires de soins des jeunes transgenres et non-binaires.
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Lyne Chiniara
Lyne Chiniara est endocrinologue pédiatrique au CHU Sainte-Justine et professeure adjointe de clinique à l’Université de Montréal. Elle a obtenu son doctorat en médecine à l’Université de Montréal en 2008 et a complété sa formation en endocrinologie pédiatrique au CHU Sainte Justine en 2013. Elle a été la première endocrinologue pédiatrique au Québec à compléter une formation spécialisée dans la prise de charge des jeunes transgenres et non-binaires au Hospital for Sick Children à Toronto. Sa formation complémentaire était axée également dans la prise en charge des jeunes intersexes et leur famille. Elle possède d’autre part une maitrise en pédagogie universitaire des sciences médicales de l’Université de Montréal. Ses intérêts de recherche sont en endocrinologie pédiatrique, plus précisement sur la prise en charge des jeunes trans et non-binaires, ainsi que sur la prise en charge des jeunes intersexes. Elle est co-fondatrice et co-directrice de la clinique de diversité du genre au CHU Sainte-Justine.
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Philippe-Benoit Côté
Philippe-Benoit Côté, Ph. D., est professeur au département de sexologie à l’Université du Québec à Montréal. Ses travaux de recherche portent sur l’accès et les barrières structurelles (sexisme, cisgenrisme, violence systémique) aux services de santé sexuelle chez les jeunes en situation d’itinérance, ainsi que sur les trajectoires de vie expliquant le passage et le maintien des personnes en situation d’itinérance (jeunes, LGBTQ+, femmes, hommes). Il dirige actuellement un projet CRSH-Savoir (2020-2025) sur les parcours de vie des jeunes trans et non-binaires en situation d’itinérance (en collaboration avec Annie Pullen Sansfaçon, Sue-Ann MacDonald, Edward Lee, et Alexandre Baril).
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Julie Christine Cotton
Julie Christine Cotton est professeure en sciences de la santé communautaire à la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke. Elle s’intéresse à l’impact du stress minoritaire sur la santé mentale ainsi qu’au développement des ressources communautaires. Ses derniers travaux ont porté sur les enjeux (psychologiques, scolaires, professionnels) vécus par les personnes trans, non-binaires et en questionnement identitaire de genre du Québec, ainsi que leur vécu en lien avec les soins et services actuellement offerts.
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Johanne G.-Clouet
Johanne Clouet est professeure à la Faculté de droit de l’Université de Montréal, en plus d’être professeure associée à l’Institut des sciences, des technologies et des études avancées d’Haïti. Elle détient un doctorat (LL.D.) en droit de l’Université de Montréal et une maîtrise en droit de l’Université McGill (LL.M.). Avant d’intégrer le corps professoral de la Faculté de droit de l’Université de Montréal, elle a mené un projet postdoctoral portant sur la protection des personnes âgées à travers la Charte québécoise et sur les volontés anticipées en matière de soins de santé. Son enseignement et ses activités de recherche portent sur le droit de la famille et de l’enfant, le droit des personnes et sur l’accès à la justice.
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Shuvo Ghosh
Le Dr Shuvo Ghosh est professeur adjoint de pédiatrie à l’Université McGill et chef de la clinique de variance de genre au sein du programme de développement de l’enfant à l’Hôpital de Montréal pour enfants. Il est également codirecteur du Centre de santé Meraki où la clinique de variance de genre pédiatrique est située. Le Dr Ghosh est né et a grandi à Chicago et a fait des études de premier cycle à l’Université Johns Hopkins de Baltimore. Il est retourné à Chicago pour terminer sa formation médicale à l’Université de l’Illinois au Chicago College of Medicine. D’autres études comprenaient une résidence en pédiatrie à l’Université de Georgetown à Washington, DC, et une bourse de recherche en pédiatrie développementale-comportementale à l’Hôpital McGill / Montréal pour enfants. En plus de ses activités médicales, le Dr Ghosh est membre fondateur de la Meraki Alliance for Whole Person Care, un organisme sans but lucratif créé pour amasser des fonds pour les services de santé connexes pour les familles dans le besoin à Montréal.
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Robert-Paul Juster
Robert-Paul Juster est chercheur en neurosciences. Ses travaux de recherche portent principalement sur l’étude du stress chronique en considérant les effets de genre, de sexe, d’orientation sexuelle et d’identité de genre. Les intérêts de recherche du Dr Juster incluent l’étude de la charge allostatique, soit une mesure des conséquences à long terme des effets du stress chronique chez les personnes. Dr Juster s’intéresse à la fois aux déterminants biologiques et sociaux du stress chronique. En plus d’être chercheur, il est directeur et fondateur du Centre d’études sur le sexe*genre, l’allostasie, et la résilience (CESAR).
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Myriam Laabidi
Myriam Laabidi, Professeure de sociologie au Cégep de Saint-Laurent et titulaire d’un doctorat (Ph. D) en sociologie de l’éducation. Membre du Conseil d’administration de la Coalition des familles LGBTQ+ depuis plus d’un an et enseigne la réalité des enfants trans dans cours de Sociologie de la famille.
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Kévin Lavoie
Kévin Lavoie est professeur à l’École de travail social et de criminologie de l’Université Laval et membre du Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF). Dans le cadre de ses travaux de recherche, il s’intéresse à la procréation assistée et aux réalités familiales émergentes, ainsi qu’aux pratiques sociales et éducatives auprès des populations LGBTQ+
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Edward Ou Jin Lee
En tant que prof à l’École de service social de l’Université de Montréal, les intérêts de recherche d’Edward Ou Jin Lee portent sur l’accès aux soins de santé, la défense des droits, le militantisme et la construction de connaissances avec et sur les personnes queer, trans, noires, autochtones, autres personnes racisées (QTBIPOC) et migrantes. S’appuyant sur des méthodologies de recherche critique, participative, communautaire et interventionnelle, Ed vise à approfondir la compréhension des initiatives menées par les pair.e.s, notamment par et pour les groupes opprimés, y compris les personnes sans-statut, en situation de rue et vivant avec le VIH. Ses intérêts incluent également les recherches visant à favoriser le travail social anti-oppressif, réflexif et décolonial, en particulier dans le cas d’intervention en contexte de la COVID-19. Cela comprend l’intervention en contexte de deuil auprès des individus, des familles et des communautés, notamment en lien avec les deuils compliqué et non reconnu. Les intérêts pédagogiques d’Ed comprennent la mobilisation des pédagogies critiques, axées sur la pleine conscience, fondées sur l’enquête et tenant compte des traumatismes afin de favoriser les apprentissages transformationnels dans la formation en travail social, y compris la formation pratique.
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Sue-Ann MacDonald
Sue-Ann MacDonald est professeure à l’École de travail social de l’Université de Montréal. Elle a travaillé pendant plus d’une décennie comme travailleuse sociale dans une équipe en santé mentale auprès de personnes en situation d’itinérance, où elle a aussi accompagné des personnes trans et non-binaire. Ses recherches sont ancrées dans la prise en compte du point de vue des personnes marginalisées afin d’améliorer les pratiques à leur endroit. Elle a plusieurs recherches en cours portant sur l’itinérance, la santé mentale et la judiciarisation. Elle collabore avec Philippe-Benoit Côté, Edward Lee et Annie Pullen Sanfaçon sur plusieurs projets pour mieux comprendre et agir sur les parcours de vie des jeunes trans et non-binaires en situation d’itinérance.
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Kimberley Manning
Dr. Manning est professeure associée de sciences politiques et directrice de l’Institut Simone de Beauvoir de l’Université Concordia. Spécialisée en politique chinoise, les femmes et la politique, et les droits des enfants et des jeunes transgenres, elle analyse la vie politique à travers le prisme de la théorie féministe, avec une attention particulière à la mise en œuvre affective des liens familiaux dans les mouvements sociaux et la formation de l’État. Dans le cadre de son travail de dirigeante universitaire et d’organisatrice communautaire, elle a cofondé un organisme à but non lucratif, a plaidé en faveur de l’adoption de lois sur les droits de la personne à Québec et à Ottawa, a supervisé un programme de trois ans dirigé par des étudiant.es sur l’équité institutionnelle et a organisé deux grandes campagnes populaires pour se présenter aux élections politiques.
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Denise Medico
Denise Medico, Ph.D., est professeure au département de Sexologie de l’Université du Québec à Montréal. Ses activités de recherche visent le développement de pratiques cliniques affirmatives et réflexives. Elle travaille dans une approche phénoménologique et située et s’intéresse particulièrement aux questions de genre, de corps et d’érotismes. Elle est aussi psychologue au Centre de santé Méraki et sexologue.
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Mélanie Millette
Mélanie Millette, PhD, est professeure agrégée au Département de communication sociale et publique de l’UQAM et membre du Laboratoire sur la communication et le numérique (LabCMO), où elle est responsable de l’axe méthodologique. Elle est également membre de l’Institut de recherches féministes (IREF) et du Réseau québécois en études féministes (ReQEF). Ses recherches portent sur les usages politiques des médias sociaux et de l’Internet pour les personnes en posture minoritaire ou marginalisée.
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Emilie Morand
Collaboratrice
Emilie Morand est post-doctorante à l’Université Laval, titulaire d’une bourse MITACS d’une durée de 2 ans. Après avoir soutenu sa thèse de sociologie en France, elle s’installe et travaille au Canada. Elle est membre de la chaire pour la diversité sexuelle et de la pluralité des genres de l’UQAM. Ses projets de recherches actuels portent sur les enjeux des personnes trans et non binaires hospitalisées au Québec. Elle est spécialisée sur les enjeux des personnes LGBTQ2S+ dans les milieux professionnels.
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Marjorie Rabiau
Marjorie Rabiau (elle) est professeure adjointe à l’école de travail social de l’Université McGill. Elle fait partie du corps enseignant en charge de la maîtrise de thérapie de couple et de famille. Dr. Rabiau est psychologue et thérapeute conjugale et familiale. Elle a une approche systémique dans son travail clinique et une Ses intérêts sont le developpement des jeunes et leurs familles, et comment créer des services affirmatifs pour soutenir les jeunes et leurs familles.
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Marie-Joëlle Robichaud
Marie-Joëlle Robichaud est professeure au département de psychoéducation et travail social de l’Université du Québec à Trois-Rivières. Dans ses travaux de recherche, elle s’intéresse aux services de protection de la jeunesse auprès des personnes souvent mises en marge, notamment les jeunes trans*.
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Annie Pullen Sansfaçon
Annie Pullen Sansfaçon (PhD Ethics, Social Work, DeMontfort University, UK) est professeure à l’École de travail social de l’Université de Montréal et anciennement titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les enfants transgenres et leurs familles de 2018 à 2023. Ses recherches visent à comprendre les expériences de bien-être des enfants transgenres. Ancrée dans des perspectives anti-oppressives et trans affirmatives, elle propose des interventions et des méthodologies qui soutiennent leur autonomisation.
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Yann Zoldan
Yann Zoldan, PhD, est psychologue et professeur de psychologie au département des sciences de la santé de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Ses intérêts de recherche concernent l’accès aux soins et la pratique clinique auprès des populations marginalisées et issues des diversités culturelles ainsi que la prévention de la violence et des discriminations. Il a une expertise en recherche qualitative, critique et en partenariat avec les communautés. Son expérience clinique concerne les adultes et les adolescent·e·s, les survivant·e·s de traumatismes et, plus largement, les populations marginalisées et discriminées (racisées et LGBTQ+). Il est actuellement psychologue, psychothérapeute et chercheur à la clinique mauve (clinique pour les personnes LGBTQ+ migrantes et/ou racisées).